Le jeûne comporte de nombreux bienfaits qui ont étés évoqués dans la loi divine. En voici quelques uns:
- Celui qui jeûne le ramadan par piété, pour se conformer aux recommandations d’Allah, par foi aux textes qui en évoquent les bienfaits et par désir d’être récompensés par Allah [dans d’au delà], verra ses péchés passés lui être pardonnés comme le Prophète (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) a dit : << Qui jeûne le ramadan par acte de foi sincère et par désir uniquement de le récompense divine, ses péchés passés lui seront alors pardonnés. >> (al-Boukhari 1910, Mouslim 760)
- Le jeûneur se réjouira de ce qu’il trouvera de récompense et de félicité grâce à son jour où il rencontrera Allah conformément à ce que le Prophète (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) a dit : << Le jeuneûr vit de deux joies : l’une lors de la rupture de son jeûne et l’autre lors de la rencontre avec son Seigneur>> (al-Boukhari 1805, Mouslim 1151)
- Il y a au paradis une porte appelée ar-Rayyân que seuls les jeûneurs pourront franchir. Le Prophète (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) a dit : <<Il existe au paradis une porte appelée ar-Rayyân que seuls les jeûneurs pourront franchir au jour de la résurrection. Personne d’autres qu’eux ne la franchira. On demandera: <<Où sont les jeûneurs?>>. Ceux-ci se lèveront. Personne d’autre qu’eux ne sera autorisé à la franchir. Une fois qu’ils l’auront franchie, elle sera refermée et plus personne ne la franchira>> (al-Boukhari 1797, Mouslim 1152)
- Allah a lié la récompense du jeûne à sa propre personne (c’est-à-dire il s’est engagé à s’occuper personnellement de la récompense du jeûne). Qu’il soit donc heureux celui dont le salaire et la récompense proviennent de quelqu’un de généreux, de puissant, de large dans ses dons et d’immensément bon, qu’il soit heureux en raison de ce qu’Allah lui prépare. Le Prophète (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) a dit [qu’Allah a dit ]: << Tout acte que fait le fils d’Adam lui appartient sauf le celui-ci est à Moi et c’est Moi qui me charge de la récompense>> (al-Boukhari 1805, Mouslim 1151)
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